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Prophéties pour l'église【T】(Vincent Bonfils)

Transcription du message* ⬇️⬇️⬇️ (Show More) La pensée qui m'a animé quand je préparais ce culte, depuis plusieurs semaines, je réfléchis à ça, et la pensée qui s'est inscrite en moi, c'est Deutéronome 6, versets 4 et 5. "Écoute Israël, l'Éternel notre Dieu, il est le seul Éternel. Tu aimeras l'Éternel ton Dieu, de tout ton cœur, de toute ton âme, de toute ta force." Et certains rajoutent "de toute ta pensée." Et c'est un peu ce que nous avons fait aujourd'hui ensemble, et on a dit qu'on avait une année pour mieux aimer, une année pour apprendre à aimer. Et celui qu'on doit aimer par-dessus tout, c'est l'Éternel. Ce verset, c'est la phrase que toute Israël se répète depuis des générations, c'est le commandement, Shema, Shema Israël. Écoute, comprends, c'est lui qui est le seul. Il est à la fois Adonaï et Yahvé, celui qui est tout puissant, et celui qui est si proche. Écoute Israël, comprends, comprends mon Église, et donne-lui toute la gloire, toute l'adoration. Aime-le de tout ton être, de toute ton énergie, toute ta force, ça veut dire toute ton énergie. Aime-le, aime-le mon Église, aime l'Éternel, de toute ta pensée, de tout ton raisonnement, de tous tes calculs, de toutes tes compréhensions. Aime-le de toute ton émotion, aime-le avec ton corps, aime-le avec tes gestes, avec tes actions, avec tes paroles. Aime-le, aime-le, aime-le lui seul, lui seul, lui seul est l'Éternel. Alleluia, Alleluia. Je suis demandé si on expérimente quelque chose d'inhabituel aujourd'hui à notre équipe de musique, de chanteur. Je vous ai demandé qu'ils continuent la louange pendant la prédication. Ça fait partie des choses qu'on a goûtées au Costa Rica et qui nous ont vraiment étonnés. Pendant tout le culte, jamais la louange ne s'arrête. Jamais la louange ne s'arrête. Et du coup, dans nos cœurs, jamais la louange ne s'arrête non plus. Et on recevait les choses différemment. Et je ne veux pas copier les choses, ce n'est pas ça, mais je veux vous faire goûter quelque chose de différent. Vous êtes prêts à goûter aujourd'hui ? Alleluia, Alleluia. Rassurez-vous, il y a aussi des tas de choses qu'on a expérimentées et qu'on n'a pas senti bon de reproduire ici. Mais Dieu est tellement bon, Il est tellement grand, tellement plus grand que nous. Et c'est juste qu'on l'adore sans cesse. C'est juste qu'on lui donne cette place qui est la sienne. Amen. Alors, je pourrais vous parler de beaucoup d'aspects de ce voyage. On a été béni sur le plan des relations. On s'est senti aimés, honorés, vraiment. Et pour ceux qui ne savent pas, je voudrais faire juste une très courte introduction de compréhension. Il y a un pasteur qui est venu du Costa Rica il y a quelques mois ici. Et ce pasteur qui bouge aussi dans le prophétique parce que c'est leur cœur là-bas, il nous a invités à aller au Costa Rica. Et je n'ai pas pris vraiment cette invitation au sérieux, mais comme il l'a répétée une deuxième fois de manière très appuyée, je me suis dit il y a peut-être quelque chose à entendre. Et on a écouté. Et on a laissé cette conviction venir. Et une chose qui était dans notre cœur, c'était on ne voulait pas aller au Costa Rica par nous-mêmes. On voulait être envoyés ou ne pas y aller. Et j'ai dit au conseil de l'Église, est-ce que vous avez entendu cette invitation ? Qu'est-ce que vous pensez ? Est-ce que vous pensez que c'est notre place d'être là-bas ? Est-ce que vous pensez qu'on doit répondre favorablement à cette invitation ? On a besoin d'entendre votre oui unanime. Et le conseil a dit "oui, on vous envoie. On vous envoie, on croit que c'est juste que vous soyez là-bas." Et en fait, ce que je réalisais en rentrant de ce voyage, c'est que parce que le conseil a fait cette décision, ça a ouvert un puits au Costa Rica pour notre Église. Et pendant le voyage, on a reçu plusieurs paroles prophétiques à différents moments. Et je réalisais que chacune d'entre elles se recoupait. Et que chacune d'entre elles était aussi une réponse à l'honneur que Dieu a fait pour cette Église qui nous a envoyés. Vous êtes toujours avec moi ? Dans une des paroles, ça disait, c'était tout au début, et la personne disait, "Oh, je vois que vous êtes affamé. Je vois que vous êtes assoiffé. Venez devant." Et ça commence par là. On était assoiffé. On est allé là-bas avec une grande, grande attente. Et le Seigneur voit toujours cette attente qu'il y a dans nos cœurs, dans vos cœurs. Et si vous avez cette attente ce matin, d'entendre ce que Dieu a dit pour son Église, et ce que Dieu va faire dans son Église, vous allez être comblés. Et vous allez repartir enrichis. Et il va se passer quelque chose de radicalement différent dans votre vie aujourd'hui. Amen. Amen. Alleluia. Le Seigneur veut vraiment se positionner en toi maintenant. Seigneur, parce qu'on peut dire plein de mots, plein de mots qui résonnent, mais quand c'est ton mot à toi, ton mot qui se révèle à notre cœur, alors même si on a l'impression de dire la même chose, il y a quelque chose qui s'est passé dans notre cœur. Et je prie que tu te révèles, Seigneur. Parce que sinon ça ne va pas changer dans nos cœurs. Alors révèle-toi à chacun de nous différemment, selon les besoins, selon la soif. Parce que quand tu nous as dit qu'on avait soif, tu parlais à la communauté. Tu voyais cette grande soif de toi. Et on entend ce cri, le cri de ton esprit qui dit "Liberté, laissez-moi toute la place, laissez-moi la liberté d'agir." Seigneur, on veut te dire "Oui". On veut te dire qu'on a besoin de se laisser diriger par toi, pas par nos principes, pas par nos habitudes, pas par nos propres sécurités, pas par nos façons de faire qu'on a toujours fait. Puis voilà, on veut sortir de là, Seigneur, pour être transporté dans les hauteurs avec toi. Et c'est toi qui le fais par la puissance de ton esprit, parce que c'est par pure grâce qui a payé le prix pour cela. Et c'est ce que tu veux faire avec chacune de nos vies. Chaque personne qui est là est venue à ton rendez-vous. Et tu ne les décevras pas, Seigneur. Parce que tu as vu la soif. Et pour celui qui n'a pas soif, Seigneur, tu vas lui donner soif de toi. Tu vas l'assécher pour qu'il crie à toi et que des fleuves d'eau vive coulent et le remplissent, le submerge de ta vie. Seigneur, on a besoin de ta vie. Viens et coule en abondance. Coule en abondance, Seigneur, par la puissance de ton esprit. Je profite à dire encore en introduction que si quand l'heure de fin arrive pour vous, vous devez partir, partez librement, personne ne va vous regarder en vous jugeant ou en disant pourquoi il part. On comprend que certains ont des besoins de partir à certaines heures pour être là avec le conjoint pour différentes raisons. Et on vous libère vraiment. Mais nous, on ne veut pas mettre de limites pour ce moment maintenant. Alleluia. Alleluia. Alleluia. J'aimerais dire aussi que, encore en introduction, qu'il n'y a pas de choses. Il y a eu des choses nouvelles qui ont été données, mais la plupart sont des choses qu'on a déjà reçues, des choses qu'on a déjà même commencé à expérimenter, commencé à goûter, et vous allez les reconnaître quand on va parler. Il y a des choses qui sont déjà là, dans cet endroit, mais que le Seigneur pointait du doigt. Il disait, ça c'est bien, continue ça, continue, encore et encore. Et puis il y a des choses, il y a des paroles prophétiques qu'on a reçues, j'ai réfléchi à ça alors qu'on se préparait déjà depuis 2017, quand on était allé en Israël. Il y a des paroles prophétiques qui étaient là, qui étaient précises. En 2018, quand on a eu un moment difficile dans l'Église, il y a une parole prophétique qui a été donnée, et c'est dans la continuité, ce qu'on va partager. En décembre 2022, il y a quelqu'un qui est venu, un visiteur ici, qui m'a juste donné une parole à la fin du culte, qui était exactement, mot pour mot, une des paroles prophétiques qu'on a reçues au Costa Rica. Mes amis, Dieu se répète, et Dieu dit des choses, et surtout, la chose qui m'a le plus réjoui, notre frère Edouard n'est pas là ce matin, mais cette semaine il m'a appelé, il m'a dit, Vincent, tu sais, j'étais réveillé cette nuit, et j'ai reçu quelque chose du Seigneur pour notre Église. Et il a partagé des choses qui étaient des choses qu'on avait reçues au Costa Rica. Et je dis, Dieu se sert même de la voix prophétique, qui est dans notre assemblée déjà installée, déjà reconnue, pour nous parler et pour nous dire, oui, ce que j'ai décidé, je vais l'accomplir certainement. Peut-être vous connaissez ce passage où Joseph parle à Pharaon, et il dit, Pharaon, si tu as reçu ce rêve deux fois, c'est que la parole est certaine, c'est que Dieu a vraiment décidé de le faire. Mais nous avons reçu certaines paroles cinq fois, six fois. Imaginez combien Dieu est déterminé pour nous. C'est tellement puissant. Dieu va le faire. Dieu va agir avec puissance. Alleluia. Dans la parole qu'Edouard recevait, il a juste cité en passant une histoire de la Bible et j'ai juste eu à cœur de la creuser, d'y retourner. Et j'y ai découvert tant de merveilles. Et j'aimerais prendre cette histoire comme base pour parler ce matin. Cette histoire, on la trouve dans 2 Rois chapitre 3. Je ne vais pas la lire, mais vous pourrez la lire à la maison. Et dans cette histoire, ça parle de trois rois. Le roi Joram, le roi d'Israël, qui était un roi qui ne suivait pas vraiment Dieu. En fait, c'était le fils du roi Achab. Et ce roi Joram, il va chercher Josaphat, un bon roi, un roi de Judah, et il lui dit, "Est-ce que tu es d'accord d'aller avec moi parce qu'il y a les Moabites qui veulent m'attaquer et on a besoin de se défendre ? Est-ce que tu es d'accord de venir avec moi ?" Et Josaphat a dit, "J'irai, j'irai avec toi, avec mes armées, avec mes hommes, avec mes chevaux, avec mes chars." Et au passage, il prend le roi d'Edom, qui est un des sujets de Juda, et ils y vont à trois rois pour aller combattre contre le roi de Moab. Et là, ils arrivent et ils marchent, et c'est dit qu'ils marchent pendant sept jours. Et au bout de sept jours, dans le désert, ils sont cuits. Le soleil a frappé, il n'y a plus d'eau, ils sont à sec. Et le Seigneur commençait à me parler à travers les paroles qu'on a reçues. Une des premières paroles qu'on a reçues qui a été répétée quasiment à chaque fois, c'était "Il y a une nouvelle saison". Il y a un nouveau temps, il y a un nouveau moment qui commence maintenant. Et il disait "Je vous vois là, comme entre deux saisons, et vous êtes pile là, au début d'une nouvelle saison". En 2017, on avait reçu une parole en Israël qui disait "Je vois une saison qui vient, je vois un temps qui vient bientôt". C'était intéressant, c'était pour bientôt, mais ce n'était pas encore là. Mais là, toutes les paroles qu'on a reçues, c'était "C'est maintenant". C'est maintenant le temps, c'est maintenant la saison. Et pourquoi je dis ça maintenant ? Parce que c'est dit que pendant sept jours, ils ont marché. Et au bout de sept jours, il s'est passé un truc. Sept jours, c'est un cycle, c'est une semaine. Dieu a créé la création en sept jours. Et après sept jours, après ce cycle, il y a un autre cycle qui commence. Amen. Il y a une autre saison. Alleluia. Ensuite, c'est important d'avoir faim et d'avoir soif. Carole l'a prié tout à l'heure. Je l'ai dit tout à l'heure. Et on voit ce peuple qui arrive là dans le désert et ils sont juste assoiffés. Non seulement eux, mais aussi leurs chevaux, aussi leurs troupeaux. Tous ceux qui sont là ont faim, ont soif. Et ils ont la bouche qui colle quelque part. Et Dieu nous dit "Aspirez." Est-ce que vous avez soif ? Le Seigneur nous dit "Aspirez." Est-ce que vous avez faim ? Aspirez aux choses de l'esprit. Et c'est seulement, comme disait Carole, quand on ressent cette soif et cette faim se manque, qu'il y a quelque chose qui peut se passer. Et il y a plusieurs façons de réagir. Et dans l'histoire, on voit Yoram qui réagit mal quelque part. Lui, il dit "C'est sec. C'est fini." Et il y a une parole tout à l'heure qui a dit "Peut-être dans une situation difficile." Peut-être tu te dis que c'est sec là. C'est terminé. J'ai fait tout ce que je pouvais. Il y a besoin d'une percée, mais il n'y a rien qui peut se passer. Une chose qui nous a touchés au Costa Rica, c'est que chaque intervenant, quasiment chaque intervenant, avait vécu des choses difficiles. Vous avez entendu Mario et son témoignage quand il est venu. Il a perdu sa femme. Ils ont tous eu des moments très difficiles. Mais ils ont tous dit "Nous, on a continué à adorer. On a continué à élever Dieu." Et Dieu a fait une percée. Et Dieu a continué son œuvre. Dieu a poursuivi son œuvre. Est-ce que tu ressens cette soif ? Est-ce que comme Joram, tu vas te décourager ? Ou est-ce que comme Josaphat, tu vas dire "Mais est-ce qu'il n'y a pas un prophète de l'Éternel ?" Quand tu es découragé, quand tu as soif, quand c'est une situation qui semble boucher, tu peux dire "Mais est-ce qu'il n'y a pas une parole de l'Éternel pour moi ? Est-ce qu'il n'y a pas un verset dans la Bible ? Est-ce qu'il n'y a pas quelque chose que Dieu veut me dire ?" On a besoin de la parole de Dieu. C'est ça la grande prophétie qui a déjà été révélée. C'est dans sa parole. Tu as besoin de la lire. Mais il y a aussi une autre parole fraîche que Dieu veut déverser, c'est la parole prophétique. C'est aussi quelque part la parole de Dieu. À partir de moi, elle ne contredit pas celle-là. Mais je ne vais pas faire un cours sur la prophétie maintenant, il y aura d'autres temps pour ça. On a besoin d'accueillir cette parole que Dieu veut donner pour notre Église, de la recevoir et de la mettre en action. Amen. Alors Joram, Josaphat et le roi d'Edom décident de faire venir un prophète. Il faut venir Élisée. Élisée arrive et il y a une petite discussion. Mais Élisée dit "Je vais donner une parole de Dieu. Je vais donner une parole prophétique. Mais d'abord, j'ai besoin qu'un musicien vienne, un harpiste. Faites venir un musicien. Faites venir quelqu'un qui va jouer." Et ne jouez pas des Beatles. Jouez de la louange. Jouez de l'adoration. En gros, ce qu'il dit, c'est "Faites venir l'adoration. Adorez l'Éternel." Et pendant que vous adorez, se faisant, il se passe quelque chose. Se faisant, la parole de Dieu est libérée. Et le Seigneur a dit dans les paroles prophétiques, il a dit pour cet endroit, il a dit "J'ai vu que vous avez commencé à creuser un puits d'adoration dans cet endroit. Et c'est bien. Continuez à m'adorer. Continuez à faire monter votre adoration. Cet endroit doit être un puits d'adoration. Je vois beaucoup, beaucoup d'adoration dans ce lieu." C'est ça que Dieu disait. "Je vois beaucoup, beaucoup d'adoration dans ce lieu. Et dans ces flots d'adoration, ça ouvre la porte à quelque chose qui va déborder. Une parole prophétique qui va déborder. Un mouvement prophétique qui va déborder." J'ai été beaucoup touchée par l'adoration, dans le sens que ce n'est pas que des chants, c'est aussi un style de vie. C'est ce style de vie où, il m'a montré, j'ai déjà partagé à plusieurs, mais un tapis roulant céleste. Alors c'est vrai que des fois, Dieu, il s'abaisse vers nous, mais là, il nous élève vers lui. Il nous élève assis en lui, avec lui, parce que c'est notre position d'enfant de Dieu, d'être en lui et où il a tout accompli. Et de cette position, je ne subis pas les choses pareilles qui se passent sur cette terre. J'ai pu expérimenter ça avec une douleur que j'avais à la côte, et aussi un début de gros rhume, où c'était comme si c'était tellement à part. C'était comme si, de ce lieu-là, c'était tout autre. Pourtant les choses étaient là, j'avais le rhume, j'avais la douleur, mais j'ai pu, de ce lieu-là, dans ces bras d'amour, sous ces ailes de guérison, pouvoir proclamer ce qu'il disait de ma vie, ce qu'il proclame de toi, que tu es son enfant, qu'il t'aime, la vérité. Ne pas entendre les circonstances, ne pas entendre mes émotions, ne pas entendre mes douleurs, mais entendre ce que lui dit de cela, comment lui les voit. Et alors, le filtre tombe, et de ce lieu d'adoration, mon autel, je peux lui offrir cet autel, où il va mettre ses braises, où je vais pouvoir m'offrir chaque jour à lui, pour que tout ce qui l'empêche de régner, lui, en tant que roi, tombe à terre, ne reste plus, plus rien ne résiste, et que je puisse être ce sacrifice vivant qui s'offre chaque jour à Dieu. Et c'est pour chacun, chacune de nos vies, tellement elle est précieuse. Et dans ce lieu d'adoration, dans ce lieu d'adoration, alors la parole prophétique de Dieu sort, et alors elle peut jaillir comme des fleuves d'eau vive, et alors, ma bouche va être empreinte de cette parole que je vais pouvoir donner à d'autres. Et c'est ce qu'il veut faire avec chacune de nos vies. Et de ce lieu d'adoration aussi, je peux voir sa face, je peux voir sa gloire, et il dit que lorsque je le regarde face à face, l'œuvre de l'esprit est de me transformer de gloire en gloire. C'est pas nous qui pouvons nous transformer. Moi je dis à mes petits à l'école, on vous dit de faire ci, on vous dit de faire ça, on vous dit arrête de faire ça, mais on ne peut pas, ils ne peuvent pas plus se changer que nous, on peut se changer. Mais quand je leur dis, il y a cet autre lieu, allez, laissons l'esprit nous y amener, là il y a le cœur de Dieu, là il va te transformer, là ta bouche va arrêter de dire des critiques sur ta copine, et ils comprennent. Et nous on peut aussi comprendre et vivre cette réalité, parce que là il y a l'abondance, là il y a la provision, et on ne regarde plus à nos besoins, mais on regarde à la provision, on regarde à lui, et il dit là, tel je suis, tel tu es, tel je suis, ce Dieu d'amour, tel tu vas être, cet enfant d'amour pour les autres. On ne peut pas aimer les autres si on n'est pas face à face avec Dieu, si on n'est pas dans cette réalité qu'il est, ce Dieu d'amour. Et alors on va pouvoir lui rendre cet amour, alors on va pouvoir s'aimer, et alors on va pouvoir aimer l'autre. Donc c'est vraiment un style de vie que Dieu nous encourage à entrer dedans, et il va nous aider à, lorsqu'on est sur ce tapis roulant terrestre où on subit les consciences, laisse-moi te monter, laisse-moi t'élever, là il y a tout, là tu vas goûter à ma paix. Là où tout est confusion, là ça va être clair. On a tellement besoin de l'Esprit de Dieu, et alors le monde va être touché, parce qu'il va nous transformer à sa gloire, et on va briller de lui, et au-delà des mots, au-delà des mots, il va faire son œuvre. Adorez le Seigneur, adorez le Seigneur maintenant, en cet instant. Adorez-le dans votre cœur, pendant qu'on parle. Adorez-le. Donc le Seigneur a dit, j'ai vu qu'il y avait ici un puits, un puits d'adoration qui a commencé à être creusé, et là dans notre histoire, c'est dit, alors que la louange a débuté, alors que le harpiste est venu à commencer à jouer, alors la parole prophétique a été libérée. Et le Seigneur dit qu'il y aura un mouvement prophétique dans cet endroit. Il dit que dans cet endroit, il y aura un mouvement prophétique qui va couler, qui va jaillir, et qui va arroser, arroser partout autour. Arroser cette ville, arroser ce pays, arroser les pays autour. Mais je crois que Dieu le dit pas seulement pour notre Église. Je crois qu'il le dit en vérité pour toutes les Églises qui s'attendent à lui, qui s'attendent à Dieu. Je crois qu'il y a d'autres endroits dans cette ville où il y aura des puits d'adoration. Je crois qu'il faut qu'on soit gardés de l'orgueil, mais simplement alors que nous sommes là, alors que nous l'adorons. Attendons-nous à ce déversement de flots prophétiques. Il y a eu une parole répétée tellement de fois en disant que des [...] beaucoup de gens, ils voyaient beaucoup de gens venir et plusieurs partir. Mais beaucoup de gens venir et plusieurs fois c'était dit surtout des jeunes. Beaucoup de gens venir et surtout des jeunes, peut-être les jeunes, oui, prophétiquement, si vous êtes d'accord, de venir plusieurs d'entre vous ici devant. Ça fait un acte prophétique.Mais le Seigneur disait "Je vois beaucoup de jeunes." Même il y a une parole qui dit "beaucoup, beaucoup de jeunes". Beaucoup de jeunes tout autour. Tout autour. Vous pouvez juste vous asseoir. Continuez à écouter. On va continuer à parler, mais restez là devant. Le Seigneur va emmener beaucoup, beaucoup de jeunes, mais pas que des jeunes. Il a dit "beaucoup de jeunes" à deux reprises. Et plusieurs fois, ça a été répété. Beaucoup, beaucoup de jeunes qui vont être touchés. Peut-être que vous ne savez pas, mais suite au séminaire avec Claus Møller, ici, il y a eu quelque chose qui a été réveillé dans le cœur de plusieurs des responsables de jeunesse. Et ils nous ont demandé l'autorisation avec Youssef de pouvoir aller dans une salle en haut et de passer 48 heures, deux jours pour prier et pour passer du temps avec Dieu et appeler Dieu à venir. Et peut-être que vous ne savez pas cela, mais ils ont fait cela. Et dans les paroles qu'on a reçues, à un moment donné, il a dit "je vois une petite salle, une petite salle de prière." Et dans cette petite salle de prière, il y a des choses qui commencent à se passer. Il y a des activations qui sont faites. Il y a des dons qui sont distribués. Dieu est là, il est à l'œuvre. Edouard me disait "je vois des petits commencements, je vois le même lien. Il y a quelque chose qui semble petit comme ça, et en même temps, quelque chose qui est grand et qui vient d'un coup." Parce que vous savez, dans la suite de l'histoire, c'est dit "à l'heure de la prière du soir". Parce que dans la parole prophétique qui a été donnée par Élisée, c'était "creusez des citernes, creusez des fosses, parce que je vais envoyer mon eau et je ne vais pas envoyer mon eau avec du vent qui va petit à petit accumuler des nuages et les nuages vont se casser et petit à petit, ça va pleuvoir. Ce n'est pas comme ça que je vais faire — a dit le Seigneur. Je ne vais pas envoyer mon eau petit à petit, mais je vais l'envoyer d'un coup. Je vais l'envoyer abondamment." Vous ne savez même pas savoir comment ça vient. Ça, c'est ce qui était dans l'histoire de 2 Rois chapitre 3. Et c'est dit qu'ils ont continué à adorer après ce moment-là. Ils ne se sont pas arrêtés. Ils ont continué à adorer, ils ont creusé les fosses, mais c'est dit jusqu'à l'offrande du soir. Et quand l'offrande du soir est arrivée, Dieu a répondu par son eau. Dieu a répondu par son eau et c'est dit que tous ont eu à boire. Tous ceux qui étaient là, tous ceux qui étaient présents ont bu. Même les bêtes. Dieu a une eau fraîche pour chacun qui est là, chacun qui est présent. Pour toi, il y a une eau fraîche. Et dans les paroles prophétiques qu'on a reçues, en décembre 2022, la personne qui est venue a dit “Je vois les montagnes autour. Et je vois de l'eau qui coule et qui coule et qui s'arrête pas de couler. Et qui s'arrête pas de couler. Et cette eau se répand. Et cette eau, elle vient par les jeunes. Elle vient par les enfants qui prophétisent dans cet endroit. Et Dieu envoie cette eau. Et quand on était au Costa Rica, quelqu'un a dit "Je vois une montagne. Je vois une montagne avec de l'eau et du feu, de la gloire et de l'eau qui coule et qui arrose sans arrêt." Dieu l'a répété. Dieu va le faire. Attendez-vous à voir ces jeunes gens saisis dans l'esprit. Attendez-vous vous-même à être saisis dans l'esprit. Alleluia. Il a aussi dit qu'il allait avoir beaucoup de créativité dans la danse. Tout ça doit être animé parce que c'est le cœur du Père. Il est créatif et il veut un peuple qu'il adore en créativité. Dans Esaïe 35.1 ça dit "Le désert et le pays arides se réjouiront. La solitude s'égayera et fleurira comme un narcisse. Il viendra lui-même et il vous sauvera. Alors s'ouvriront les yeux des aveugles, s'ouvriront les oreilles des sourds. Les boiteux sauteront comme des cerfs. La langue du muet éclatera de joie. Car les eaux jailliront dans le désert et les ruisseaux dans la solitude." Il y a un temps d'accélération. À trois reprises, on a reçu ce mot, accélération. Il y a un temps d'accélération. Ça disait même, même toi tu penses pas à ces choses, même toi tu imagines pas ces choses mais ça va aller beaucoup plus vite. Il y a un temps d'accélération qui s'en vient, dit le Seigneur. Et un temps aussi de réforme. Laissez-moi vous parler de ça encore. Un temps de réforme. Ce mot réforme a été dit plein de fois. Il y en a même un qui l'a répété au moins 15 fois d'affilée. Il a dit réforme, réforme, réforme. Édouard a reçu, c'est une nouvelle saison, une saison de la taille. Eugène May quand il était venu en 2018 avait dit, "Dieu va faire des choses nouvelles et il va changer tout ce qui a besoin d'être changé. Il va changer nos habitudes." Édouard a dit, "Je vois des grosses branches, je vois un arbre avec des grosses branches. Et Dieu coupe certaines grosses branches qui sont belles. Mais Dieu est en train de les couper parce qu'il veut donner une autre forme à cet arbre, parce qu'il veut donner des nouveaux fruits à cet arbre. Et pour avoir les nouveaux fruits et pour avoir la forme que Dieu veut, on a besoin de réformer certaines choses. On a besoin de changer." Et il s'était aussi dit réforme dans le sens que Dieu nous invitait à emmener une dimension de la réforme. Et il y a quelques mois, on est allé visiter avec Jean-Claude la ville et comprendre l'histoire de cette ville. Et une chose m'a frappé quand on était là devant le mur des réformateurs. Il a nommé les quatre réformateurs qui étaient là et disait "Tu vois, lui, c'est l'évangéliste. Farell, il est venu annoncer l'évangile à Genève. Et puis ensuite, il y a eu Calvin, le docteur, qui est venu là pour sceller ces choses. Et puis ensuite, il y a eu le pasteur De-Bèze. Théodore De-Bèze, qui est venu, le pasteur qui est venu pour lier tout ça. Et puis il y a Knox, c'est ça ? John Knox qui est allé, lui, comme un apôtre, répandre cela en Angleterre et ailleurs. Et moi, je me disais, il est où le prophète ? Il est où le prophète ? Et je crois que c'est ça la réforme que Dieu emmène. Je crois que Dieu veut réveiller son Église dans un nouveau temps, un temps prophétique. Et nous en serons. Nous en serons. En rentrant du Costa Rica la même semaine, je suis allé visiter Édouard à l'hôpital parce qu'il était opéré de l'épaule. Il m'a dit quelque chose de la Rive-Droite que je ne savais pas, qui m'a énormément encouragé. Il m'a dit, tu sais, Vincent, à l'époque, il y a eu le mouvement de Toronto qui a frappé la rive droite et plusieurs ici ont été touchés, ont été visités. Et il m'a dit, il y a eu un choix qui a dû être fait par le pasteur Rochat, Gérald Rochat. Et il a dû faire un choix. Et il m'a dit, à cette époque-là, Gérald a écrit une lettre à tous les pasteurs avec qui il était en contact autour. Il a dit, vous faites ce que vous voulez, vous pensez ce que vous voulez, mais ici à la Rive-Droite, nous n'éteindrons pas le mouvement de l'Esprit. J'ai tellement été saisi quand il m'a dit ça. Et j'ai dit, je suis tellement privilégié d'être dans cet héritage, dans cet héritage de pasteurs qui ont su avoir cette détermination de dire, on n'éteindra pas l'Esprit. Et moi, je vous dis aujourd'hui, nous n'éteindrons pas l'Esprit dans cet endroit, mais nous laisserons la liberté au Saint-Esprit. Et je le dis franchement en tremblant, je ne sais pas vraiment ce qui m'attend. Je ne sais même pas vraiment faire en vrai. Souvent, j'écris toutes mes notes. Et je ne sais pas trop comment faire, mais je sais que Dieu va le faire. J'en suis absolument certain. Parce qu'il l'a répété non pas une fois, non pas deux fois, non pas trois fois, non pas quatre fois, mais cinq fois, six fois, sept fois pour certaines choses. Dieu va vraiment le faire. Seigneur, j'ai à cœur qu'on puisse maintenant se laisser élever près de ton cœur pour recevoir, Seigneur, l'abondance de tes paroles, l'abondance de tes paroles pour notre propre vie, mais pour ton Église, pour les autres. Seigneur, nous voulons être là dans ce lieu où ça sature, où ta présence nous sature. Et c'est là où tu vas restaurer nos vies, restaurer nos cœurs, faire de nous des fils et des filles, où tu vas tenir ferme ces jeunes en toi. Et même si en bas, ça secoue beaucoup, ils vont pouvoir tenir ferme, on va pouvoir tenir ferme ensemble, parce qu'on va regarder tous à toi, pas à nos circonstances, pas à nous-mêmes. Et on va voir les autres comme toi, tu les vois. Et nos bouches vont s'aligner sur ce que tu dis d'eux. Seigneur, nous voulons nous dépouiller de toute critique. Nous voulons nous dépouiller, Seigneur, de toute peur du regard de l'autre. Nous voulons nous dépouiller, Seigneur, de croire qu'on doit accéder par nos propres forces. Seigneur, nous voulons nous dépouiller de nos raisonnements qui nous tiennent à terre. Seigneur, nous voulons laisser ton Esprit toucher notre Esprit, embraser les braises de notre tel. Et nous voulons, Seigneur, te lâcher les choses qui nous empêchent d'être maintenu, élevé en toi à chaque instant. Goûter, goûter à ta présence. Goûter, être intentionnel et réaliser à chaque instant que tu es là, Seigneur, pour que tu puisses nous utiliser dans ce monde, afin que ta lumière chasse les ténèbres. Seigneur, glorifie-toi au milieu de nous et lève-toi au milieu de nous, Seigneur. Merci, Seigneur. Alléluia. J'aimerais encore mettre l'accent sur un dernier point, c'est la dimension de foi. Il y a une foi à libérer. Et nous voyons dans cette histoire que ce peuple s'est mis en route. Dieu a parlé par la parole prophétique, mais le peuple n'a pas laissé tomber cette parole à terre. Dieu a dit "creusez des puits, creusez des fosses et vous verrez, ça va arriver". D'un coup. Qu'est-ce qu'ils ont fait ? Ils ont obéi. Et la semaine passée, Rabah Sadani nous a invités à obéir. Nous a invités à obéir à Dieu. Je ne l'ai pas dit, mais [...] jeudi soir, à la soirée des hommes, Samuel Ribagnac. Et c'était une soirée qui était ouverte pour les femmes aussi. Des femmes ont entendu également. Nous a invités à casser les moules, à casser les choses, à oser croire que Dieu a quelque chose de nouveau, de différent. Il disait "vous êtes habitués, peut-être, il donne l'image d'une orange, peut-être vous trouvez du plaisir avec une orange. Et chaque jour, vous allez devant Dieu avec cette orange. C'est bon, cette orange, cette orange". Et un jour, Dieu dit "maintenant, c'est une pomme". Et les gens s'offusquent, les gens refusent. Ils disent "non, moi, je veux mon orange". Mais Dieu, il a des choses qu'il veut changer. Et quand il va y avoir ces changements qui vont s'opérer, ces fosses qu'on va creuser, il y a des choses qui vont se passer. Une fosse, c'est l'adoration. Un puits à creuser, c'est l'adoration. Et dans l'histoire qui suit cette histoire, Élisée va chez une veuve qui n'a plus d'argent et dit "rassemble tous les pots, rassemble tous les pots que tu peux avec tes voisins et tes voisines et je vais mettre de l'huile dans ces pots". Et c'est dit qu'autant qu'il y avait de pots, autant il y avait d'huile. Autant il y avait de fosses, autant elles ont été remplies d'eau. Mes amis, on a besoin de creuser un max de fosses parce qu'on veut un max d'eau. Alleluia ! Et nous avons besoin d'accuser réception par la foi. Et moi tout le long je me disais "mais qu'est-ce que je dois faire Seigneur ? Qu'est-ce que je dois faire ?" Souvent quand il y avait des paroles prophétiques qui étaient données, moi en tant que pasteur je me disais "mais Seigneur, qu'est-ce que je dois faire avec ça ?" Et c'était trop fou parce que plusieurs fois, le prophète au bout d'un moment il disait "tu n'as rien à faire". Je vous promets c'était même énervant, mais il disait "vous n'avez rien à faire, je vais le faire". Mais vous savez dans le sens des mots hébreux, il y a un sens qui n'existe pas en français. Nous c'est soit on fait quelque chose, soit on attend. Mais en hébreu il y a aussi un troisième état, un état médian, où à la fois on attend et à la fois on fait quelque chose. Et je crois que c'est ça que Dieu nous appelle, à nous mettre en route par la foi. Et un partage sur l'histoire de Zachée, et j'aimerais encore vous dire ça parce que ça m'a beaucoup touché. Il disait "Zachée cet impie qu'il était, il avait la compréhension que Jésus allait passer par là. Il avait la compréhension que Jésus allait venir jusqu'à cet endroit. Et qu'est-ce qu'il a fait Zachée ? Il n'a pas dit "on verra bien, je reste chez moi, on verra bien". Il a couru, il s'est dit. Il est monté dans un arbre, il s'est dit. Et il s'est tenu là, à l'endroit où il avait compris que Jésus allait passer. Messieurs, Mesdames, mes bien-aimés, mes très chers frères et sœurs, tenons-nous à l'endroit où Jésus a dit qu'il allait passer. Parce qu'il va passer et on ne veut pas le louper. Alors on va monter dans l'arbre, à un endroit bien visible pour que Jésus nous voit et ne nous loupe pas. Et Jésus avait déjà dans son cœur de passer et d'aller manger chez Zachée. Il le savait avant. Et Dieu a déjà des choses dans son cœur pour nous. Et on va être là quand Jésus va passer. Amen. La foi vient de ce qu'on entend, de la parole de Dieu. La foi vient de ce qu'on entend, de la parole de Dieu. Et la parole de Dieu génère la foi en nous. Et nous avons besoin de mettre la foi dans la parole de Dieu, dans cette parole-là, et aussi dans la parole prophétique. Mets ta foi dans cette parole que tu as reçue aujourd'hui. Et je prie que cette parole suscite une foi et active une foi toujours plus forte en nous. Amen ! On va prier. Dans le naturel, si vous voulez appliquer de l'huile sur votre peau, il faut mettre de l'eau pour qu'elle pénètre. Cette parole prophétique, loin du Saint-Esprit, va pénétrer dans nos cœurs. On a besoin d'être dans ce lieu secret où vous pouvez sortir de la boîte dans laquelle on vous a mis. Et vous, les jeunes aussi, parce que vous n'êtes pas juste des jeunes dans l'Église, vous avez vraiment votre place et vous pouvez prendre votre place. Et nous, plus âgés, on doit vous laisser cette place. Et je crois qu'on peut faire un acte prophétique de dire, même pour nous, plus âgés, de dire "Voilà, je vois l'Église comme ça, on m'a mis comme ça dans cette boîte, mais je ne veux plus cette boîte. Je veux la liberté de l'esprit et être libre du regard, libre de faire les actes de foi que Dieu va me demander de faire." Parce que quand on est là, dans ce lieu-là avec Lui, alors notre identité s'ancre parce qu'on apprend plus en plus à connaître notre Dieu, à lui faire confiance. Et alors que notre identité s'ancre, la foi nous fortifie. Elle est dans ce lieu-là avec Lui. Alors Seigneur, merci pour ce que Tu fais, ce que Tu as déjà fait parce que Tu as préparé le terrain. Et Seigneur, nous ne voulons pas laisser tomber à terre d'être vigilants, de nous maintenir dans les lieux célestes avec Toi en tant qu'enfant de Dieu bien-aimé. Nous laisser aimer de Toi, nous laisser parler de nous et nous laisser aussi entendre ce que Tu dis de Toi. Seigneur, merci parce que Tu vas fortifier notre foi dans cette intimité. Et Seigneur, je prie que Tu montres à chacun de nos cœurs qu'est-ce qui prend plus de place que Toi, qu'est-ce qu'on a mis sur notre autel à Ta place. Parce qu'il ne peut pas y avoir deux choses qui règnent. Et Seigneur, qu'on puisse se dépouiller de ça afin d'être élevé en Toi, Jésus, par Ta grâce. Donne une soif, une faim, une faim de Toi, Saint-Esprit, que toutes les peurs quittent ce lieu, quittent les cœurs. Parce que Ton amour bannit toute peur dans ce lieu, Seigneur. En Toi, il y a Ton amour qui bannit toutes nos craintes, toutes nos peurs. Rien n'est impossible. On veut regarder la provision qu'il y a en Toi, Seigneur, pour toutes les situations de nos vies, pour tout ce que Tu vas nous demander de vivre avec Toi, que ce soit la créativité, que ce soit peu importe quoi, Seigneur. On veut entendre le cri de Ton Esprit qui dit "Je veux être libre au milieu de vous. Laissez-moi être libre. Laissez-moi me balader au milieu de vous et agir au milieu de vous." Et Seigneur, donne-nous une obéissance sans réserve lorsque Tu vas nous demander de faire des actes de foi, Seigneur, qui vont te glorifier. Amen. Amen. Et le Seigneur a dit "Ne méprisez pas la jeunesse. Ne méprisez pas la jeunesse." Et il nous a rappelé ce verset de Joël 2. Il a dit "Les jeunes gens auront des visions." Ça sera une génération qui sera pleine de confiance. Il n'y aura pas de stress en l'avenir. Il n'y aura pas de peur en l'avenir. Mais il a dit "Je vois une génération pleine de confiance parce qu'ils seront remplis de la force du Saint-Esprit." Alleluia. Levons-nous ensemble et adorons encore le Seigneur. Adorons le Seigneur maintenant. - - - *Merci de nous informer s'il y a des erreurs qui nuisent à la compréhension du texte dans cette transcription automatique.

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